A partir du tournant des années 2010, l’engagement des institutions européennes et internationales concernant l’organisation de la lutte contre la « criminalité organisée » et le rôle de la société civile dans cette politique s’est accru.
En 2013, Fabrice Rizzoli, alors représentant du réseau FLARE, publie un article sur les fondations posées par les doctrines et jurisprudences supranationales en la matière, comparant droits français et italien, repensant la place dévolue à la société civile dans l’arène juridique nationale.
Lire « La lutte contre le crime organisé : l’exemple d’une Europe de la justice et des peuples »
[La Commission « Criminalité organisée, corruption et blanchiment de capitaux » du Parlement européen prône] une harmonisation des régimes confiscatoires, [prenant] exemple sur un modèle de lutte contre les mafias : la confiscation préventive des biens criminels en Italie, de régime administratif.