C’est un « raid historique » de la justice italienne sur la ‘Ndrangheta, surnom de la mafia calabraise : plus de 400 suspects ont été arrêtés la semaine dernière dans le cadre d’une enquête visant la puissante organisation. Fabrice Rizzoli, chercheur spécialiste de la grande criminalité et co-fondateur de Crim’HALT, est sur France Inter pour en parler.

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Ne ratez pas les propos de Bruce de Galzain, correspondant à Rome pour Radio France qui revient sur le traitement médiatique de cette opération historique.

Crim’HALT tient cependant à apporter une précision face à une critique émise à l’encontre du procureur Gratteri qui ratisserait large lorsqu’il interpelle alors que ces résultats seraient moins bons au moment du procès. Ici, le chroniqueur relate des accusations émises par la bourgeoisie mafieuse prenant l’exemple d’un procès d’une précédent affaire (169 interpellations / 69 condamnations). Tout d’abord, il est faut que sur l’ensemble de la carrière de M. Gratteri, qui vit sous protection policière depuis 1989, ces actions auraient été entraîné d’échec devant les tribunaux. C’est l’inverse. Enfin, oui il est difficile e condamné les complices des mafieux,, cet élite qui prend des distance et bénéficie des meilleurs avocats. Avec les résultats italiens, condamnation du bras droit de Silvio Berlusconi, du président de la région Sicile et tant d’autres… on comprend qu’il y ait des réticences en France devant l’instauration d’un délit « d’association mafieuse » ou « d’association criminelle » puis d’un « concours externe » en association mafieuse!

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